1) Les libéraux ont-ils vraiment planifié la date de la prochaine élection générale, soit à la fin de l'été?
2) Si c'est le cas, Charest a parié sur les élections dans ses forteresses pour, d'une part, repousser la question lancinante de la date des élections et, d'autre part, tenter de noyer le poisson du mouvement de contestation.
Bref, le parti politique au pouvoir utilise une fois de plus les manettes du gouvernement pour acheter sa survie électorale. Combien d'argent Québec sortira-t-il de son coffre pour contribuer à perpétrer sa propre érosion?